- Par Laurent Saboureau
SPÉCIAL RATICIDES - Une autre approche moléculaire
Comme nous l’avons vu dans la rubrique Pôle Santé Animale, Point sur l’Actualité de la revue du mois de novembre dernier (N°959 - page 14), les rongeurs ont développé aux fils du temps des résistances génétiques aux molécules rondenticides de type anti-coagulant. Ces résistances touchent les molécules dites de première génération comme le coumatétralyl, mais également dans une moindre mesure certaines molécules de la seconde génération, comme la bromadiolone ou le difénacoum. D’autres molécules de cette seconde génération (flocoumafen, brodifacoum et diféthialone) ne semblent pas à ce jour être concernées par ce phénomène.
L’article de novembre présentait les résultats d’études menées sur une association de bromadiolone et de difénacoum pour améliorer l’efficacité face à ces résistances. Une autre stratégie pour s’affranchir de ces résistances consiste à utiliser d’autres molécules n’appartenant pas à la famille des anticoagulants et fonctionnant selon un autre mode d’action. Le cholécalciférol, autrement appelé Vitamine D3, est l’une de ces molécules.
Le cholécalciférol, naturellement présent dans l’environnement, est un élément essentiel pour le métabolisme du calcium dans l’ensemble des organismes. Il augmente la quantité de calcium dans le sang en le mobilisant à l’extérieur des os. Il...
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